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C'est pour ton bien

 

"L'opinion publique est loin d'avoir pris conscience que ce qui arrivait à l'enfant dans les premières années de sa vie se répercutait inévitablement sur l'ensemble de la société, et que la psychose, la drogue et la criminalité étaient des expressions codées des expériences de la petite enfance...

Ma tâche est de sensibiliser cette opinion aux souffrances de la petite enfance, en m'efforçant d'atteindre chez le lecteur adulte l'enfant qu'il a été."

Ce livre intelligent et chaleureux dénonce les méfaits de l'éducation traditionnelle - qui a pour but de briser la volonté de l'enfant pour en faire un être docile et obéissant -, et montre comment, fatalement, les enfants battus battront à leur tour, les menacés menaceront, les humiliés humilieront; comment, surtout, à l'origine de la pire violence, celle que l'on inflige à soi-même ou celle que l'on fait subir à autrui, on trouve toujours le meurtre de l'âme enfantine. Cette "pédagogie noire", selon l'expression de l'auteur, est illustrée par des textes du 18e-19e siècle, stupéfiants ou tragiques, reflétant les méthodes selon lesquelles ont été élevés nos parents, et nos grands-parents, et par trois portraits d'enfances massacrées : celle de Christine F., droguée, prostituée, d'une jeune infanticide allemand - et d'Adolph Hitler, que l'on découvrira ici sous un jour tout à fait inattendu.

Éduquer sans punir

 

Éduquer sans punir : voilà ce que tout bon parent ou enseignant souhaitent. Même si de nombreuses recherches ont démontré les effets nocifs des punitions, la discipline reste la préoccupation première des éducateurs.

Or, nous savons maintenant que c'est l'autodiscipline qui apporte une plus grande satisfaction aux parents et qui réduit les troubles physiques et psychologiques chez les enfants.

Il a été clairement démontré que l'autodiscipline augmente leur estime d'eux-mêmes, leur sens de l'initiative ainsi que leur réussite sociale et scolaire.

A l'aide des études de cas exposées dans ce livre, vous découvrirez de nouveaux moyens susceptibles d'amener les enfants à modifier leurs comportements, et ce, sans avoir recours ni aux punitions ni aux récompenses. Ainsi, vous les aiderez à assumer leurs responsabilités et à faire face à leurs propres difficultés.

 

Le Dr Thomas Gordon, psychologue, est notamment l'auteur chez Marabout de Parents efficaces et Parents efficaces au quotidien. Ses livres ont été traduits en 24 langues et ses programmes de formation, offerts dans 52 pays, ont accueilli près de deux millions de participants.

Éduquer sans punir

 

Les adolescents qui se droguent, se mutilent, volent, fuguent, se détruisent, sont aussi les adultes et les parents de demain. En évitant de les punir et de les renvoyer, l'équipe du Tamaris a prouvé pendant dix ans l'intérêt d'une approche systémique et anthropologique dans la réparation de personnalités violentes.

L'usage de la menace et de la punition est souvent un exercice inutile et contre-productif pour les adolescents placés en institutions spécialisées. L'auteur montre ici comment l'équipe du Tamaris s'attache à transformer une contrainte, apparemment étouffante (le placement institutionnel d'un jeune en difficulté par l'autorité judiciaire), en un moteur de créativité et de survie. Confrontée à d'importants paradoxes institutionnels, celle-ci développe de nouveaux rituels, de nouvelles symboliques, bref une nouvelle culture lui permettant de rendre opérationnelle une pensée riche et originale.

Bien entendu, il ne suffit pas de bannir la punition pour voir les miracles s'opérer. L'abandon de la sanction et de la menace est une attitude indissociable d'une socio-thérapie d'ensemble qui met l'accent sur la personnalité plutôt que sur le comportement. Dix années parsemées d'essais et d'erreurs montrent aujourd'hui des résultats très encourageants dans les champs de la petite délinquance, de la souffrance familiale ou psychologique, et attestent à leur façon que pédagogie et thérapie sont unies dans une nécessaire transmission d'humanité.

Éduquer sans punition ni récompenses

 

L'éducation traditionnelle est prisonnière du schéma punitions-récompenses. Dans ce livre, fondé sur les apports de la Communication Non Violente, l'auteur propose une approche globale de l'éducation, qui prend réellement en compte les motivations des enfants et des jeunes, l'apprentissage des relations et la découverte de soi-même.

Il invite à un enseignement qui ne soit plus essentiellement l'accumulation d'un savoir défini par des autorités extérieures aux intéressés, mais plutôt une exploration joyeuse, appuyée sur une écoute des élans et des besoins des enseignants comme des élèves. Cette éducation veut permettre le développement d'une intelligence de la pensée autant que du corps, des émotions et, bien sûr, du cœur.

Un livre à destination des enseignants, des éducateurs et des parents.

Jean-Philippe Faure, formateur en Communication Non Violente en Suisse, pratique ce processus selon les principes de son créateur, Marshall Rosenberg. Il est également l'auteur, en collaboration avec Céline Girardet, de l’Empathie, le pouvoir de l'accueil (Editions Jouvence). C'est riche de son expérience de formateur, de père et de son travail tant avec des enseignants que des parents et des enfants, qu'il a écrit ce livre novateur.

La domination adulte

Éditeur et essayiste, Yves Bonnardel travaille à des sujets aussi divers que l'esclavage des animaux, la domination masculine, l'institution de l'enfance, la discrimination nationale, le système pénal ou la Françafrique.

Critique de l'idée de nature, partisan d'un égalitarisme libertaire, c'est-à-dire, d'un véritable universalisme, il est persuadé que les mouvements progressistes ne peuvent continuer à faire l'économie d'une profonde remise en cause des dominations qui structurent nos sociétés.

 

La domination adulte opprime profondément les jeunes. Les "enfants" sont aujourd'hui réputés particulièrement vulnérables et vivent sous l’emprise d'un statut de "mineur" qui, sous prétexte de protection, leur retire l'exercice des droits fondamentaux qui sont reconnus aux majeurs, aux "adultes". Ce statut de mineur entérine en fait de nombreuses sujétions et partant, de nombreuses violences. La famille est ainsi l'institution sociale la plus criminogène qui soit, mais l'école est aussi un lieu privilégié d'exercice d'un ordre adulte oppressif.

Ce livre rappelle les nombreuses luttes - habituellement passées sous silence - menées par des "mineurs" contre leur condition, contre les discriminations fondées sur l'âge et pour l'égalité politique. Leur donnant la parole, il questionne aussi bien les idées d'enfance et de protection que celle de minorité. C'est aussi la notion même d'éducation qui est ici remise en cause. il nous convie de façon inédite à un véritable voyage révolutionnaire au sein des rapports adultes / enfants, dont notre vision du monde ne sort pas indemne.

La fessée

"Ce livre est un cadeau pour les millions de jeunes qui n'ont pas encore d'enfants. Un cadeau aussi et surtout pour tous les enfants à naître dont les parents auront eu la chance de le lire."

Alice Miller

Beaucoup de maux des enfants et des adultes (dépression, délinquance, tendance à avoir des accidents...) tiennent à la manière dont ils ont été traités au moment où leur cerveau se formait.

D'ailleurs, les gifles et les fessées rendent-elles les enfants plus obéissants ?

Améliorent-elles les apprentissages ?

Pourquoi les châtiments corporels sont-ils si destructeurs ?

Est-il possible d'éduquer sans frapper ?

Comment faire ?

La violence éducative : un trou noir dans les sciences humaines

La violence, contre les personnes, la violence des guerres, la violence sociale et politique, nous environne et nous inquiète : elle est l'objet de débats passionnés ainsi que de nombreuses recherches en sciences humaines. Cependant, l'une de ses formes principale reste ignorée, oubliée : la violence éducative.

A travers l'analyse approfondie d'un vaste ensemble d'ouvrages, Olivier Maurel montre comment la violence éducative s'inscrit dans l'histoire des Hommes, et met en évidence la façon dont elle est presque systématiquement occultée, entraînant une vision tronque des causes profondes de la violence. A la lumière de récents développement scientifiques, Olivier Maurel nous invite à renouveler notre regard et propose de nouvelles pistes de réflexion aux parents, aux éducateurs, aux étudiants et aux chercheurs en sciences humaines.

A l'heure où le Conseil de l'Europe s'engage pour l'interdiction des châtiments corporels en Europe, et où 32 pays ont déjà fait voter des lois dans ce sens, la prise de conscience des effets de la violence éducative est plus que jamais d'actualité : Olivier Maurel la fait sortir de ce trou noir de la pensée dans lequel elle se trouve encore, et ouvre avec espoir le chemin vers une société plus paisible.

Oui, la nature humaine est bonne !

Fessées, gifles, calottes, tapes ou bastonnades... Dans beaucoup de pays, les enquêtes les plus sérieuses montrent que plus de 80% des enfants subissent encore des méthodes éducatives violentes.

Or, si étonnant que cela puisse paraître, aucun grand philosophe n'a tenu compte dans sa réflexion sur la nature humaine des conséquences de ce dressage violent infligé depuis des millénaires à la majorité ds êtres humains au moment où leur cerveau est en formation.

Pire : dans les religions, dans les conceptions philosophiques, et aujourd'hui encore dans la psychanalyse, tout se passe comme si l'origine de la violence et de la cruauté humaines était dans la nature même des enfants. Pourtant, les recherches les plus récentes ont révélé chez lui des compétences - attachement, empathie, imitation - qui en font un être remarquablement doué pour la vie sociale.

La source de la violence et de la cruauté humaines réside-t-elle dans la nature des enfants, c'est-à-dire ans notre nature, ou dans la méthode qu'on a utilisée de tous temps pour les élever ?

C'est à cette question que répond Olivier Maurel, en s'appuyant sur les recherches d'Alice Miller et les plus récente découvertes de la neurologie. Après la lecture de ce plaidoyer inédit, il sera difficile de continuer à appeler "éducation" le fait de frapper un enfant.

Pour une enfance heureuse

 

Lorsque vous aurez lu ce livre, vous ne regarderez plus l'être humain comme avant..."

Thomas d'Ansembourg

 

Dans le monde entier, les dernières découvertes scientifiques sur le développement et le fonctionnement du cerveau bouleversent notre compréhension des besoins essentiels de l'enfant. Elles prouvent qu'une relation empathique, aimante, est décisive pour permettre à son cerveau d'évoluer de manière optimale, pour déployer pleinement ses capacités.

Le cerveau des enfants et des adolescents se révèle très vulnérable : toutes les expériences ont un impact majeur sur sa structuration. Les relations avec les parents ou l'entourage façonnent l'intelligence cognitive et relationnelle de l'enfant, et détermineront son comportement affectif, notamment sa capacité à surmonter le stress, à vivre ses émotions. Toute forme de maltraitance, de violence même apparemment anodine, perturbera le bon fonctionnement de son cerveau, de son affectivité, avec parfois des dommages irréversibles.

Catherine Gueguen nous fait partager ces découvertes neurologiques saisissantes, les explique avec clarté. Elle les illustre de nombreux cas cliniques, et propose des conseils éducatifs pour les parents ou les professionnels. Afin de donner la chance à l'enfant de devenir un jour un adulte libre et heureux.

Repérer et éviter les douces violences

Dans l'anodin du quotidien

Après le succès de ses premiers ouvrages, Vivre en Crèche, Remédier aux douces violences et Réaliser un projet accueil petite enfance, Christine Schuhl continue de bousculer notre confort. La voici à présent tournée vers notre quotidien

Que ce soit autour du bébé, de l'adolescent, de l'adulte ou de la personne vieillissante, des paroles, des gestes, des attitudes blesantes parasitent nos relations.

"Les douces Violences" semblent envahir notre vie...

La vigueur des réactions autour de cette thématique des douces violences et l'accompagnement de nombreux professionnels de l'enfance ont poussé Christine Schuhl à entreprendre cet ouvrage afin que notre regard change. C'est dans cet objectif que chaque bande dessinée a pour but d'interpeller notre bon sens.

Ce livre tendre et profond touche notre histoire, parce qu'il est tiré d'un quotidien... apparemment sans histoire.

Une nouvelle autorité sans punition ni fessée

 

La punition et la menace qui fondaient autrefois l'autorité sont aujourd'hui dénoncées par tous les grands penseurs de l'éducation. Cela signifie-t-il pour autant que nous devons abandonner le terrain et démissionner de notre rôle de parents ? Bien au contraire !

Profitons du formidable élan d'amour qui accompagne l'arrivée d'un enfant pour repenser notre place et notre discours.

Les instruments dont nous avons beoin sont à portée de main. A nous d'apprendre à les utiliser !

Cet ouvrage, fruit de l'expérience d'une vie, vous aide à :

- repenser la pose de limites,

- parvenir à un parentage respectueux,

-mettre en place un protocole pratique face aux situations d'opposition.

Vingt siècles de maltraitance chrétienne des enfants

Avant Jésus, aucun philosophe, aucun penseur, aucun fondateur de religion, n'a parlé des enfants comme il l'a fait, et ne leur accordé une aussi grande importance. Mais ses paroles sur les enfants sont restées en friche. Ni les disciples, ni les premiers théologiens, ni les membres influents de l'Eglise au cours de ses vingt siècles d'existence, n'en ont vraiment accepté le sens profond. Sous l'influence de quelques grands noms de l'histoire de l'Eglise, les théologiens ont édifié un véritable barrage idéologique. C'est le dogme du péché originel, qui a interdit l'accès à la signification essentielle des paroles de Jésus et à leur application. Ainsi, l'Eglise a-t-elle pratiqué dans ses institutions, et parfois conseillé aux parents pendant vingt siècles, des méthodes d'éducation brutales. Les scandales actuels de maltraitance n'ont rien de nouveau. La seule nouveauté, c'est qu'aujourd'hui les victimes parlent. Que l'on soit lié ou non à Jésus par la religion, la redécouverte de ses paroles sur les enfants peut redonner sens et fore à son message. Près de deux mille ans avant Maria Montessori, Célestin Freinet, Janusz Korczak, ses paroles ouvraient des voies à une éducation des enfants respectueuse et bienveillante. Elles sont en harmonie avec les découvertes les plus récentes sur le développement du cerveau et sur les compétences innées des enfants. Ce livre n'est en rien un pamphlet anti-religieux. Il montre seulement qu'aucune religion, si grande fût-elle, ni d'ailleurs aucun agnosticisme ou athéisme, ne peut améliorer le sort de l'humanité, s'ils ne sont pas fondés sur l'amour des enfants et le respect de leurs comportements relationnels. Il montre aussi qu'une sincère attention à l'adresse des enfants passe par la redécouverte de l'enfant que nous avons été.

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